Au cours des deux dernières décennies, le Fonds égyptien de coopération technique avec l’Afrique a fait des bonds quantitatifs et qualitatifs dans sa performance et son action, en conséquence des mutations survenues sur les scènes internationale et régionale.

Le renforcement des relations bilatérales a dépassé l’envoi des experts et des aides, de la tenue de stages dans les diverses spécifications, et l’octroi d’assistances humanitaires et sanitaires d’urgence face aux sinistres dans le continent ; des accords de coopération tripartite ont étéconclus avec les bailleurs de fonds, et des fermes conjointes ont été fondées avec les Etats africains, des convois médicaux ont été envoyés pour traiter les maladies contagieuses, et quelques Etats ont été équipés sur le plan médiatique alors que d’autres ont reçu une assistance techniquejugée indispensable au développement des potentialités africaines et à la réalisation de programmes en faveur du progrès socio-économique .